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UKRAINE un pays qui s'ouvre à l' U.E.

27 avril 2018

OPPORTUNITÉ à SAISIR/ FERME AVICOLE potentiel 1.500.000 poulets /an

OPPORTUNITÉ à SAISIR/ FERME AVICOLE potentiel 1.500.000 poulets /an

16 BATIMENTS D'elevage 

Entrepots

Couvoirs et pépinières

cfaufferie

preparation des aliments

chaine d'abattage et conditionnement

TOUT CELA SUR 19 HA VIABILISE

 

CONTACT: poivre31@hotmail.com

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26 avril 2018

AGROGENERATION

Paris, le 26 avril 2018

AgroGeneration, producteur de céréales et d'oléagineux en Ukraine, publie ses comptes annuels 2017, arrêtés par le Conseil d'Administration du 25 avril 2018.

Le Groupe publie des résultats 2017 contrastés dans un environnement toujours marqué par des prix bas, et des conditions climatiques très défavorables compte tenu de la forte sécheresse durant l'été. Ces évènements ont impacté la production en termes de volume et de valeur, comme annoncé en fin d'année. Les résultats ont été mécaniquement impactés avec un EBITDA divisé par deux et une perte nette significative.

Toutefois, grâce à une solide maîtrise de son BFR le groupe a généré un niveau de cash-flows opérationnels suffisant pour couvrir une large partie de l'effort d'investissements réalisé en 2017, notamment en matériel agricole.

Le Groupe bénéficie également de la confiance renouvelée de ses partenaires financiers et bancaires, avec un financement de campagne 2018 déjà totalement sécurisé. En parallèle, la société poursuit sa stratégie de diversification de ses sources de financement.

L'exercice 2018 devrait être nettement mieux orienté compte tenu d'une évolution plutôt favorable des prix et du bon démarrage de la nouvelle campagne agricole. En parallèle, le groupe mène des actions de réductions de coûts qui doivent permettre d'atténuer les éventuels impacts météorologiques et vise un objectif de retour aux performances des années précédentes en EBITDA dès 2018.

Résultats annuels 2017

Les comptes annuels 2017 seront déposés le 30 avril 2018 sur le site www.AgroGeneration.com

Chiffres clés

(en k€) 2016 2017
Chiffre d'affaires 60 263 54 195
Écart de la juste valeur des actifs biologiques et des produits finis 22 182 14 767
Coût des ventes (59 237) (52 933)
Marge Brute 23 208 16 029
Frais commerciaux, généraux et administratifs (11 834) (12 663)
Autres produits et charges 403 (2 522)
Résultat opérationnel 11 777 844
Résultat financier (1) (12 503) (14 089)
Impôt (162) 68
Résultat net (888) (13 177)

 

(en k€) 2016 2017
EBITDA (2) 19 382 9 095
Capitaux propres 65 434 56 083
Endettement net (3) 39 835 45 436
Endettement structurel (4) 15 026 9 784

(1) Dont pertes de change latentes de 3,0 M€ en 2016 et 5,6 M€ en 2017

(2) EBITDA = résultat net augmenté des impôts, du résultat financier net, des dotations aux amortissements et provision et du résultat net des ventes d'immobilisations et impairment sur actifs immobilisés- voir détail en annexe du communiqué
(3) Endettement brut diminué de la trésorerie disponible et des dépôts de garantie affectés au remboursement de la dette bancaire - voir détail en annexe du communiqué
(4) Montant en principal du prêt octroyé par le BERD et montant des intérêts futurs capitalisés liés à l'OSRANE - voir détail en annexe du communiqué

Production et chiffre d'affaires

En 2017, AgroGeneration a produit 359 200 tonnes de céréales et d'oléagineux (contre 387 200 en 2016) sur une superficie de 105 400 hectares (contre 109 000 hectares en 2016). La baisse de la superficie est liée à la vente d'une ferme en 2017, dans la région de Kharkhiv. La diminution de la production est principalement attribuable à la sécheresse subie pendant l'été 2017 et qui a eu de lourdes conséquences sur les récoltes de tournesol et de maïs même si dans l'ensemble la performance du Groupe a été largement supérieure à celle de ses pairs.

Comparaison des rendements bruts (source : Commission Nationale des Statistiques de l'Ukraine au 31 janvier 2018)

Cultures AGG vs. Ukraine
Blé +30%
Orge +31%
Maïs +38%

Le chiffre d'affaires du Groupe a atteint un total de 54,2 M€, en repli de 6,1 M€ en raison de la baisse de la production et du décalage d'une partie des ventes sur le premier semestre 2018. Mécaniquement le niveau de stocks est en hausse par rapport à l'an dernier.

Le chiffre d'affaires se décompose comme suit :

  • 41,8 M€ correspond au chiffre d'affaires lié à la vente de 241 000 tonnes produites sur 2017. La différence entre le tonnage produit et vendu correspond à la production conservée par la société pour ses propres besoins et à un stock de 105 000 tonnes, plus élevé de 26 000 tonnes par rapport à l'année dernière. AgroGeneration s'appuie sur ses capacités de stockage pour profiter de la hausse des prix de vente début 2018 ;
  • 11,4 M€ correspond au produit de la vente des stocks de l'exercice précédent ;
  • 1,0 M€ correspond aux autres produits et services (stockage, séchage).

Pour cet exercice, la part des ventes à l'export (y compris la production stockée) est d'environ 57 % contre 45 % en 2016. Hors cultures non exportables (ex : le tournesol), la proportion serait de 69 %.

Résultats de l'exercice

La marge brute s'élève à 16,0 M€ (contre 23,2 M€ en 2016), soit une baisse de -7,2 M€, ventilée comme suit :

  • -9,3 M€ de perte de revenus imputable à l'impact de la sécheresse de l'été, principalement sur le tournesol, comme annoncé en décembre 2017 ;
  • -2,5 M€ liés à l'augmentation des coûts de production liés principalement à un nouveau mix de cultures (notamment sur le maïs) ;
  • +3,9 M€ liés à l'augmentation de l'écart de juste valeur des semis d'hiver, principalement due à un changement de superficie, de mix des cultures et de rendement ;
  • +0,3 M€ lié à la hausse des prix ;
  • +0,4 M€ lié à l'impact positif sur les coûts de la dépréciation de la Hryvnia.

Par ailleurs, les frais commerciaux, généraux et administratifs ont augmenté de 0,8 M€ et s'élèvent à 12,6 M€ en 2017. Cette augmentation s'explique par :

  • +1,1 M€ lié à l'augmentation des coûts de commercialisation compte tenu de la hausse de la part des ventes à l'export ;
  • -0,3 M€ lié à une baisse globale des frais généraux et administratifs.

Les autres charges et produits ont diminué de 2,9 M€ attribuables à :

  • -0,8 M€ lié à la fin du régime de TVA dérogatoire pour les sociétés agricoles en 2017. La suppression progressive de ce régime sur les 3 dernières années a entraîné une baisse cumulée de 6 M€ pour le Groupe ;
  • -1,4 M€ correspondant à la vente d'une ferme. La perte est liée aux impacts non cash (ajustement des écarts de change et allocation de goodwill). D'un point de vue cash, la vente a été réalisée à des conditions financières intéressantes ;
  • -0,7 M€ principalement lié à l'impact non cash de la réévaluation des actifs, contrebalancé par un impact positif sur les fonds propres de 4,1 M€.

Au final, le résultat opérationnel ressort à 0,8 M€ contre 11,8 M€ en 2016. L'EBITDA a atteint un total de 9,1 M€ contre 19,4 M€ en 2016.

Les charges financières ont augmenté à 14,1 M€ en 2017 (contre 12,5 M€ l'an dernier) et sont réparties comme suit :

  • 6,6 M€ de coût de la dette, en baisse de 0,8 M€ par rapport à l'exercice précédent grâce à la baisse des taux d'intérêt sur les crédits de campagne ;
  • 5,8 M€ de pertes de change sur les prêts contractés en dollars (dont 5,6 M€ de pertes de change latentes principalement sur les prêts intragroupe), contre 4,7 M€ en 2016, en raison de la dépréciation de la Hryvnia ;
  • 1,7 M€ d'autres coûts financiers, contre 0,4 M€ en 2016, liés à des charges financières sur les postes clients et fournisseurs.

La perte nette s'élève à un total de -13,2 M€ contre -0,9 M€ en 2016.

Structure financière

Les flux de trésorerie générés par l'activité ressortent à 3,7 M€ contre 8,8 M€. La baisse significative des flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation a été en partie compensée par l'optimisation du BFR et par des conditions de paiement négociées avec les fournisseurs.

Après une pause de 3 ans, la société a entrepris en 2017 la modernisation de sa flotte de machines, financée par du leasing et par la dette bancaire. Ces investissements permettront l'utilisation de techniques de culture plus intensives et de rendements plus élevés. Par conséquent, les dépenses d'investissements ont atteint un total de 7 M€ en 2017 contre 2 M€ en 2016.

La dette structurelle du Groupe baisse à 9,8 M€ au 31 décembre 2017 (contre 15 M€ fin 2016), soit 17 % des fonds propres. La dette structurelle qui inclut les intérêts courus dans le cadre de l'OSRANE (6,3 M€) continue de décliner au fur et à mesure des remboursements (la date de remboursement total est fixée en mars 2019 et permettra de réaliser une économie de 4,7 M€ par an sur les intérêts versés). Le prêt octroyé par la BERD s'élève à 3,5 M€.

L'endettement net du Groupe a augmenté de 5,6 M€ sous l'effet principalement de décalage de remboursement et ressort à 45,4 M€ à fin 2017. Au 31 décembre 2017, la trésorerie disponible du Groupe s'élève à 1,8 M€ contre 3,1 M€ en 2016.

Des perspectives positives pour 2018 : une conjoncture de marché favorable avec un effet de levier potentiel quand les prix remonteront

L'économie ukrainienne a pu s'engager sur la voie de la reprise avec une croissance de 2,2 % pour la seconde année consécutive en 2017 tandis que le gouvernement ukrainien continue de mettre en œuvre son programme de réformes structurelles. Après une dépréciation significative depuis 2014, la Hryvnia a fait preuve d'une stabilité relative en 2017. L'inflation reste néanmoins élevée et atteint 13,7 % en 2017. 

Les tendances restent favorables pour les matières premières agricoles, compte tenu de l'augmentation attendue de la demande mondiale de produits alimentaires à moyen terme. Après une forte baisse des prix depuis 2013, ceux-ci ont commencé à remonter en 2017 et cette tendance positive s'accélère sur 2018, portée par un environnement de marché et des conditions météorologiques favorables dans le monde.

La nouvelle campagne agricole 2018 a bien démarré. Le Groupe prévoit de semer 106 000 hectares (environ 1 000 hectares de plus qu'en 2017 grâce aux nouveaux hectares sécurisés l'an dernier) dont 48 000 ont déjà été semés avec les semis d'hiver. Dans un contexte météorologique favorable, le Groupe a débuté la fertilisation des cultures de printemps, avec une réduction (par rapport à l'an dernier) du maïs et du pois au profit des cultures d'hiver.

La campagne agricole 2018 a été sécurisée grâce au renouvellement du financement auprès d'Alfa-Bank Ukraine pour 35 M$ et à un contrat de prépaiement de 10 M$ avec Quadra Commodities.

En parallèle, AgroGeneration lance un plan général d'économies, qui inclut la réduction des coûts de production et la baisse des frais généraux et administratifs pour un montant total estimé d'environ 4,2 M€. Ce plan sera maintenu malgré le contexte inflationniste sur certains coûts en Ukraine qui devrait masquer partiellement l'impact de cette baisse sur le coût de production à hauteur de 1 M€.

Dans ce contexte, et avec les pleins effets de ce plan d'économies en 2018, le Groupe vise un retour à sa performance passée en EBITDA en 2018.

A propos d'AGROGENERATION

Créé en 2007, AgroGeneration est un producteur international de céréales et oléagineux. Suite au rapprochement avec Harmelia, le nouveau Groupe est devenu un des cinq premiers producteurs agricoles en Ukraine avec près de 110 000 hectares contrôlés en Ukraine. Le Groupe a pour objectif, en louant des terres agricoles à fort potentiel, de répondre au défi alimentaire de demain, lié au doublement de la consommation mondiale d'ici à 2050.

Retrouvez toutes les informations sur le site AgroGeneration : www.AgroGeneration.com

Recevez gratuitement toute l'information financière d'AgroGeneration par e-mail en vous inscrivant sur: www.actusnews.com

 
 
AgroGeneration
01 56 43 68 60
investisseurs@AgroGeneration.com
www.AgroGeneration.com
Actus Finance
Guillaume Le Floch, Relations investisseurs
01 53 67 36 70
Anne-Pauline Petureaux, Relations investisseurs
01 53 67 36 72
Alexandra Prisa, Relations presse
01 53 67 36 90
 

ANNEX ES

Calcul de l'EBITDA

(en k€) 2016 2017
Résultat opérationnel 11 777 844
Amortissement des actifs immobilisés 7 017 6 245
Résultat net des ventes d'immobilisations (yc provisions) et Impairment sur actifs immobilisés 588 2006
EBITDA 19 382 9 095

Calcul de l'endettement net

(en k€) 2016 2017
Endettement brut 44 887 47 204
Trésorerie disponible (3 130) (1 768)
Dépôts de garantie * (1 922) 0
Endettement net 39 835 45 436

Dépôts de garantie affectée à la dette bancaire

Structure de l'endettement brut

(en k€) 2016 2017
Dette structurelle 15 026 9 784
OSRANE* 9 703 6 293
Obligations cotées/ Obligations Konkur 5 323 3 491
Autres dettes financières 29 861 37 420
Total emprunts 44 887 47 204

Ce montant représente le montant des intérêts à payer jusqu'à maturité de l'instrument. Il n'y a pas de principal à rembourser.

10 avril 2018

Une commande de 50 matériels en Ukraine

Case IH remporte un appel d'offres d'équipements agricoles pour une grande entreprise agroalimentaire ukrainienne. Le contrat porte sur 50 machines, notamment des tracteurs, des pulvérisateurs et des cultivateurs. Cet accord aidera l'entreprise agroalimentaire à étendre sa surface cultivée.

Une flotte à 11 millions de dollars

À l'occasion de l'une des plus importantes ventes de tracteurs et d'équipement agricole du pays, l'entreprise agroalimentaire Epicenter K vient d'élargir sa flotte de machines par le biais d'un contrat de 11 millions de dollars. Les tracteurs, pulvérisateurs et équipements de travail du sol ont été fournis par l'importateur de matériel Case IH Titan en Ukraine. Celui-ci fait partie d'un groupe qui compte parmi les principaux acteurs sur le marché mondial en matière d'équipement Case IH. Il dispose d'une douzaine de filiales en Europe, y compris en Bulgarie, en Roumanie, en Ukraine et en Serbie. Il dispose également d'un réseau de 105 filiales et concessions dans son pays d'origine, les États-Unis.

Les 50 machines travailleront sur 110 000 ha

L'accord concerne l'achat de 50 matériels individuels, y compris deux tracteurs articulés Quadtrac 600 à chenilles, 19 tracteurs Magnum 340, 17 pulvérisateurs Patriot 4430 et 12 outils de travail du sol True-Tandem 335VT.

Epicenter K gère plus de 110 000 hectares de terre et travaille en Ukraine depuis 2015. L'entreprise a fortement augmenté ses biens fonciers dernièrement et prévoit d'agrandir ultérieurement sa surface. Elle cultive principalement du blé , du tournesol, du maïs et du colza.

En route vers un deuxième contrat ?

Les négociations de ce contrat ont été entamées au cours de l'été 2017 et ont été soutenues par une démonstration pratique des équipements concernés à l'échelle locale. Epicenter K a annoncé le lancement d'un appel d'offres pour l'achat d'équipements et a invité à y participer plusieurs fabricants implantés en Ukraine en mesure de répondre aux besoins de l'entreprise. Il s'avère que la balance a penché en faveur de Case IH. Les conditions finales d'achat, de livraison et de services, ainsi que les caractéristiques de la flotte d'équipements, ont été discutées sur le stand de la marque à l'occasion du salon Agritechnica 2017 à Hanovre. La haute direction de Case IH, Titan et Epicenter K sont parvenus à s'entendre. L'accord a également confirmé l'intention des parties de travailler ensemble sur le long terme. Des négociations sur l'achat d'un lot important de moissonneuses-batteuses Axial-Flow 9240 et de déchaumeurs à disques Ecolo-Tiger 875 de 6,7 m de large sont déjà en cours.

 

https://www.grostracteurspassion.com/

5 avril 2018

PROPRIÉTÉ AGRICOLE en UKRAINE (suite)

PROPRIÉTÉ AGRICOLE en UKRAINE

(suite) 

Une exploitation, vous convient, prix de location, achats bâtiments ... .

Apartir de ce stade, vous aurez tout intérêt à faire appel à un cabinet juridique et fiscal, connaissant parfaitement, les lois et les mentalités Ukrainiennes et bien entendu Européenne.Ce cabinet vous suivra sur l'exploitation, analysera en détail : l'état financier et juridique de cette dernière(voir les dettes en cours, surtout fiscales.) . Si l'affaire est saine , les dettes épurées, vous pourez commencer sous leur conseil à signer bails, achats et les faire enregistrer.

Mais n'obliez surtout pas d'avoir fait vos prévisionnels d'investissements, en tenant compte que les 2 premières années, vous ne pourrez faire que peu de bénéfices (terres laissées en friche, pas d'apport d'intrants, ni de fumures, voir matériel désuet ... .).

Il y a aussi des cahiers des charges à respecter concernant les semences, les importations de matériel, les exportations.

Le mode cultural, change lui aussi, un chef de culture local sera le bien venu.

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Peut être que cette plaine reverra sa fertilité entre vos mains!

Pour d'autres renseignements: poivre31@hotmail.com

 

29 mars 2018

EXPLOITATION AGRICOLE de 1.500 à 2.000 ha en UKRAINE

EXPLOITATION AGRICOLE de 1.500 à 2.000 ha     en UKRAINE 

Vous avez de très bonnes connaissance en technique et pratique.

Le juridique et la gestion est votre fort;

Vous avez un bon capital départ.

VOUS POUVEZ TENTER L'AVENTURE.

Ii faut savoir que de nombreuses tentatives ont étè infructueuses.

Ceci pour des raisons divers, que l'on vous apprendra, avant de partir dans la grande aventure.

LA RECHERCHE

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Prendre son baton de berger à la recherche de la perle rare , une aventure à hauts risques.

- NON !!! -

 

Tout d'abord, il est primordial de comprendre que les Ukrainiens sont chez eux, avec leurs habitudes, qu'ils savent travailler aussi bien que nous leur terre, la seule différence que , le matériel, les intrants, les semences étaient fournis par l'état dirons nous.Mais à la chute du groupe Soviétique, tous les robinets se fermèrent, plus d'intrants, plus de semences, plus de pièces de rechange pour le matériel et des milliers d'hectares à cultiver !!!

Toujours dans l'ambiance des Kolkoses, ils continuères a cultiver le maximum d'hectares, mais vite les semences dégénérent, le manque d'intrants, le matériel qui se fatigue ( avec 2 moissonneuses on en fait une, puis 1 avec 3 et enfin: une qui coupe, une qui andaine, une qui moissonne!!!!;), petit à petit, les gens s'essoufflent, les jeunes partent ailleurs.

Les voilà maintenant, avec leur 4 hectares en friche .(Il faut savoir que les terres arables ont été partagées à part égale aux travailleurs du Kolkose, soit environ 4 ha chacun.)

Le Chef du Kolkose prend en charge ces " dirons nous " actionnaires et leur 4 ha, ce qui arrive en moyenne à 1.500 ha.

pour les mettre en location de 5 à 7 ans, renouvelable.

Une fois le préposé à la location trouvé, il sera convoqué devant l'assemblée des actionnaires qui donneront leur avis favorable ou pas.

 

 

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TIMENTS D'EXPLOITATION et MATERIEL

 

Si les terres ne peuvent être achetées, par contre les bâtiment et les terrains qui les entourent peuvent être achetés, ainsi que la matériel existant,  parfois acheté récemment.

 

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On remarque donc, qu'il est très important et primordial de connaître les opportunités qui se présentent, pour cela, on est obligé de passer par des indicateurs locaux qui pourront nous donner les premières informations et savoir, s'il y a d'autres personnes sur le projet, car, dans ce cas nous allons tomber sur des enchères pour le prix de la location et bien entendu sur les "bakchiches".

Donc, on évitera toutes les exploitations frontalière avec l'U.E et aux alentours de KIEV.

un proverbe dit:"pour vivre heureux, vivons caché."

 

PROCHAINEMENT L'ANALYSE DE LA FAISABILITE  FINANCIERE ET FISCALE

pour tout renseignements complémentaires:  poivre31@hotmail.com

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25 mars 2018

MATÉRIEL AGRICOLE

 

L’Ukraine a pris un énorme retard en agriculture, retard principalement dû aux manques de moyens financiers et à un parc de matériel agricole de plus en plus désuet, voir inexistant.

Bien entendu la volonté est là, mais les étendues sont grandes, très grandes pour un parc de matériel que l’on peut estimer à 35% des besoins et quand une machine moderne apparaît tout le monde désire son intervention.

Alors une opportunités s’ouvre à nous membres de l’Union Européenne, pour vider nos parcs de matériel d’occasion .

Mais comme tout bon Européen, on ne veut pas envoyer de matériel sans pré-paiement et tout bon Ukrainien, n’aura pas assez de liquidité pour nous satisfaire. Alors depuis des mois du matériel en parfait état repose dans des parcs, alors qu’il pourrait se rentabiliser sur le sol Ukrainien.

Mais éternelle question, oui, mais, j’ai entendu dire que : le passage de frontière…, que du matériel avait disparu, que ceci…, que cela…, puis que mon comptable…, que ma banque.. ; et j’en passe.

Mais, si vous veniez sur place, analyser ensemble avec les responsables locaux, les exploitants, les sucreries et peut être avec une banque qui oserait tenter une entrée (sur les routes d’Ukraine, il me semble avoir aperçu sur des enseignes de banques des étoiles qui nous sont familières à nous français et cela loin de Kiev.)

Des solutions, elles existent, il suffit de faire le premier pas aller sur place.

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Si vous êtes tentés par cette aventure, vous pouvez nous contacter, pour plus de renseignements. Poivre31@hotmail.com

 

 

22 mars 2018

INVESTIR DANS LE GRENIER DE L'EUROPE pourquoi pas VOUS

 

INVESTIR DANS LE GRENIER DE L'EUROPE pourquoi pas VOUS

Si, vous avez suivi, les différents messages de ce blog.

Vous pouvez constater que l'agriculture Ukrainienne, intéresse de nombreux investisseurs et pas des moindre.

Seul, ce n'est pas pensable, il faut se grouper entre agriculteurs et investisseurs qui veulent aller de l'avant.

Les céréales auront toujours une valeur et de plus en plus!!!

Sans oublier, les élevages, les cultures demandant une forte main d'oeuvre

Le bio,l'arboriculture et le Bois.

En effet la population mondiale augmente de jours en jours

les besoins augmentent, ils suivent suivent la démographie.

VENEZ NOUS REJOINDRE

ENSEMBLE NOUS POURRONS AVANCER

Pour nous contacter: poivre31@hotmail.com

poivre31@hotmail.com

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ukraine

 

 

 

19 mars 2018

La plus grande exploitation agricole Ukraine « MHP » va transformer le fumier de poulet en électricité

La plus grande exploitation agricole Ukraine « MHP » va transformer le fumier de poulet en électricité

 

« PHM » construction d'un complexe de biogaz dans la région de Vinnitsa

SC « MHP »  pour résoudre le problème  du fumier de poulet de sa filiale « Vinnitsa volaille », ils prévoient de mettre en place une usine de production d'énergie alternative de biogaz qu'ils transformeront en énergie électrique, ceci sans émanation de mauvaises odeurs. 

Les résidus seront transformés en engrais organiques.

   

 

14 mars 2018

Reprise de Doux par l'ukrainien MHP : “Les discussions sont toujours en cours”

https://youtu.be/ylUZTlblbuU

L'entreprise MHP en images

Le volailler ukrainien MHP a déposé en fin de semaine dernière une offre de reprise du groupe Doux, en difficulté. Ce mardi 13, le projet était présenté aux représentants du personnel. Ils craignent pour l'avenir des 1 200 postes.

ombien d'emplois pourraient être supprimés ? C'est la question qui inquiète les 1 200 salariés du groupe Doux, qui fait à nouveau face à des difficultés financières.

En fin de semaine dernière, le volailler ukrainien MHP déposait une offre de reprise. Une offre très attendue, mais qui suscite finalement beaucoup de craintes. Ce, malgré les déclarations du groupe, soucieux de rassurer. En Ukraine, l'industriel se présente comme le leader de la volaille.


Ce mardi 13 mars, le projet était mis à l'étude des représentants du personnel. Pour sauver l'emploi dans la région, les syndicats appellent à une réaction de la part des pouvoirs publics.

Bercy cherche d'autres solutions​


"Les discussions sont toujours en cours", indiquait la déléguée syndicale CFDT Patricia Le Bars, à l'issue du Comité central d'entreprise (CCE).

"Il n'y a pas eu d'annonce aujourd'hui", a noté Nadine Hourmant, déléguée syndicale centrale FO, précisant qu'un nouveau CCE devrait se tenir le 21 mars. Elle s'est cependant dite inquiète du projet d'offre de MHP.

C'est un repreneur qui vient de l'Est, qui pratique du dumping social, qui pratique des salaires qui sont en-dessous des nôtres.

Selon les syndicats, il ne serait pas intéressé par le site de Chantonnay (Vendée), où travaillent quelque 300 personnes. "L'annonce de la cessation d'activité du site de Chantonnay se ferait dès la semaine prochaine", a indiqué Nadine Hourmant.

Interrogé par l'AFP, Bercy a fait savoir de son côté que le Comité interministériel de restructuration industrielle (CIRI) "ne travaille pas que sur une seule solution, leur but est de chercher d'autres repreneurs pour avoir une solution acceptable en terme économique et social. Il reste du temps pour trouver des solutions préférables".

Pourtant, l'heure tourne : la coopérative Terrena, qui soutient Doux, ne pourra plus le faire beaucoup plus longtemps. Aujourd'hui, quand Doux vend une tonne de poulet, l'entreprise perd 200 euros. Depuis deux ans, les pertes annuelles s'élèvent à 36 millions d'euros

 

Par Jeanne Travers avec AFPPublié le 13/03/2018 à 14:54

 

 

12 mars 2018

L'ukrainien MHP sur les rangs pour reprendre Doux, à nouveau en difficulté

L'ukrainien MHP sur les rangs pour reprendre Doux, à nouveau en difficulté

STANISLAS DU GUERNY 11/03/2018  
Résultat de recherche d'images pour "MHP UKRAINE"

Terrena, l'actionnaire actuel de Doux, ne veut plus soutenir seul le déficit de sa filiale, à nouveau au bord de la faillite. Le groupe ukrainien MHP a émis une intention de reprise, et des licenciements sont à prévoir.

 

Groupe Doux : jusqu'où Terrena pourra t-il soutenir le volailler ...

https://france3-regions.francetvinfo.fr/.../groupe-doux-terrena-pourra-t-il-soutenir-vol...
Il y a 6 jours - Terrena, deuxième groupe coopératif agricole français, ne pourra pas soutenir "éternellement" le volailler Doux, à la recherche de 100 millions ... Terrena n'a pas voulu commenter un éventuel partenariat avec l'Ukrainien MHP, évoqué par Le Monde, dans le cadre du plan de transformation de Doux.
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UKRAINE un pays qui s'ouvre à l' U.E.
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